Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ)

Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ)

Depuis le le 1er janvier 2024, j’ai choisi de m’affilier à un important partenaire du domaine de la construction et de la rénovation, l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ).

Reconnu par l’OACIQ, autorité en matière de courtage immobilier au Québec, comme association respectant les exigences en matière d’inspection, l’APCHQ agit, depuis des décennies, pour la promotion d’habitations de qualité et durables.

 

Ce changement permet l’accès à une diversité de services bénéfiques pour nos clients :

  • des formations continues, pratiques et théoriques, adaptées aux réalités du terrain, afin de maintenir un niveau élevé des connaissances;
  • des outils et des services conseils techniques, réactifs, afin de trouver les meilleures solutions à des problèmes très complexes découverts lors de l’inspection;
  • un programme d’assurances erreurs et omissions permettant de maintenir une offre de services de qualité à des prix très compétitifs;
  • un accompagnement dans l’application de la nouvelle norme de pratique BNQ 3009-500 qui rehausse la prestation des services des inspecteurs en bâtiment;
  • une étroite collaboration avec la Régie du Bâtiment du Québec (RBQ) et la Garantie de construction résidentielle (GCR), ce qui me permet d’offrir ce qui se fait de mieux en inspection préréception des bâtiments neufs.

Je suis donc ravi de pouvoir continuer à innover et à bonifier la qualité de mes services dans les domaines du préachat, de la prévente, de la préréception, de l’expertise et du bilan de santé des bâtiments.

 

Inspection Services Plus en fait toujours plus pour ses clients!

Ignorer l’inspection, une stratégie qui peut vous coûter très chère

Ignorer l’inspection, une stratégie qui peut vous coûter très chère

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Pourquoi l’inspection en bâtiments est cruciale pour votre transaction immobilière

 

Ignorer l’inspection d’une propriété avant l’achat, c’est prendre un grand risque.

Encore aujourd’hui, pour obtenir la propriété convoitée, certains acheteurs sont prêts à prendre beaucoup de risques et à renoncer à des conditions essentielles à leur transaction, dont le fait d’ignorer l’inspection avant d’acheter.

Pensant faire un « cadeau » aux vendeurs, ces acheteurs préférant ignorer l’inspection se retrouvent en fait à offrir un « cadeau empoisonné » non seulement pour les vendeurs, mais également pour eux-mêmes.

Avantages de l’inspection pré-vente pour le vendeur

Pour un vendeur, l’inspection pré-vente dévoile clairement toutes les problématiques et les vices apparents. Ainsi, dans le futur, le risque de poursuite abusive est nettement diminué. Moins de conflits, moins de dépenses.

Avantages de l’inspection pré-achat pour l’acheteur

Quant à l’acheteur, il aura fait preuve de prudence et de diligence en s’entourant du professionnel pour son inspection pré-achat. L’inspecteur en bâtiment :

  • établira le portrait complet de tous les composants visibles du bâtiment au moment de la transaction
  • donnera l’heure juste aux deux parties intervenantes à la transaction, en toute impartialité
  • fournira un rapport avec photographies qui sera un support essentiel pour les interventions à prévoir à titre de correction et de prévention.

Acheter sans inspecter = Acheter les yeux fermés

N’oubliez pas, acheter une propriété sans la faire inspecter équivaut à l’acheter les yeux fermés et à assumer, pour les années à venir, tous les vices apparents qu’un inspecteur en bâtiments aurait vus!

Pour une tranquillité absolue, Inspection Services Plus est à votre disposition!

L’union des connaissances et l’expertise de tous les spécialistes

L’union des connaissances et l’expertise de tous les spécialistes

L’Association des inspecteurs en bâtiments du Québec (AIBQ) et InterNACHI-Québec, représentent les deux plus grands regroupements d’inspecteurs en bâtiment au Québec avec près de 800 membres.
Ces deux associations, les plus reconnues en inspection de bâtiments au Québec, unissent leur voix pour informer le public que des informations sensationnalistes, trompeuses et erronées à propos de la qualité des inspections au Québec, ont été récemment véhiculées dans certains médias.

Afin de bien vous informer de la réalité et des faits, voici un bref déroulement.

En décembre 2019, le gouvernement du Québec adoptait la loi 16, visant principalement l’encadrement des inspections en bâtiment et de la copropriété divise et en conséquence de ceci, des pouvoirs réglementaires ont été octroyés à la Régie du bâtiment du Québec (RBQ).

Dans un but d’uniformiser les pratiques dans ce domaine, la RBQ souhaite mettre en place une norme de pratique unique à l’ensemble des inspecteurs de la province.

Pour ce faire, elle a mandaté le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) pour la rédaction d’une nouvelle norme. Une table de concertation de 18 collaborateurs, réunissant des représentants de l’ensemble des sphères d’activités liées aux bâtiments, à l’immobilier, à la protection des consommateurs ainsi qu’à l’habitation a ainsi été créée.

Après plusieurs mois de travail à cette table de concertation où l’Association des Inspecteurs en Bâtiments du Québec (AIBQ) et InterNACHI-Québec étaient présentes, le BNQ a préparé un projet de norme qui a été déposé pour consultation publique à l’été 2021.

Suite à l’étude de ce projet jusqu’en octobre, de nombreux commentaires et demandes de modifications ont été transmis au BNQ. Il y aura donc une seconde étape de concertation, ce que nous accueillons favorablement.

« Nos associations prennent très au sérieux leur rôle dans la création de cette nouvelle norme de pratique uniformisée et nous priorisons l’objectif d’atteindre un consensus, le tout en partageant nos expériences et notre savoir-faire avec les autres représentants du milieu », affirme le président de l’AIBQ, M. Denis St-Aubin.

« Il est regrettable d’entendre des personnes représentant une poignée d’inspecteurs, refusant non-seulement de contribuer à ce processus d’amélioration continue et qui de plus, désinforme le public en propageant des faussetés sur la qualité des inspections actuellement réalisées dans la province », souligne M. Tony Porowski, président de InterNACHI-Québec.

Depuis le début de leurs créations, l’Association des Inspecteurs en Bâtiments du Québec et InterNACHI-Québec, ont veillé à la protection du public, en s’assurant d’un processus rigoureux pour l’adhésion, la certification ainsi que la formation de leurs membres, en obligeant l’utilisation d’une convention de service, au respect d’une norme de pratique rigoureuse reconnue par les tribunaux et à l’obligation de détenir une assurance professionnelle.

L’union des connaissances et l’expertise de tous les spécialistes dans les domaines pertinents permettront d’arriver à la réalisation d’une norme de pratique unique pour l’inspection des bâtiments au Québec.

D’ici là, les consommateurs peuvent continuer d’avoir confiance aux inspecteurs et inspectrices en bâtiment, membres de l’AIBQ et de l’AIIICQ, qui tous les jours effectuent des inspections avec rigueur et professionnalisme.

SOURCE Association des inspecteurs en bâtiment du Québec

Marché immobilier actuel

Marché immobilier actuel

L’importance cruciale de l’inspection immobilière dans le marché actuel

Dans le marché immobilier actuel, l’importance de faire inspecter la propriété que l’on acquiert, bien souvent en surenchère, est plus que fondamentale. Certains acheteurs ne réalisent pas qu’enlever cette condition à leur offre d’achat peut avoir de très graves conséquences et n’est pas un cadeau fait aux vendeurs!

Procédure pour vices cachés : un parcours semé d’embûches

Imaginons qu’une fois emménagé, l’acheteur constate des problèmes et le voilà en procédure contre les vendeurs pour vices cachés. Frais d’expertise, de contre-expertise, éventuellement d’avocats, délai des procédures, travaux non budgétés à faire, stress… Mais dans la procédure, il faudra également démontrer que l’acheteur :

  • a fait preuve de prudence et de diligence lors de son achat, avoir eu recours à des professionnels de la construction par exemple s’il ne détient pas les compétences dans ce domaine
  • peut prouver l’absence du vice ou de tout indice laissant croire à un tel désordre lors de l’achat.

L’avantage pour l’acheteur et le vendeur

Une inspection en bâtiments ne devrait pas être considérée comme optionnelle lors d’un achat de plusieurs centaines de milliers de dollars. L’acheteur aura la paix d’esprit en ayant l’heure juste sur le bien et le vendeur limitera le risque de poursuite à son encontre.

N’hésitez pas à faire appel aux professionnels reconnus d’Inspection Services Plus!

5 changements majeurs dans les installations électriques

5 changements majeurs dans les installations électriques

rédaction, 2018. mise à jour: 2024

Voici cinq exemples des 420 changements prévus dans les nouvelles installations électriques:

Il est prévu 420 changements de philosophie qui touchent 475 articles dans les installations électriques. Le Code ne représente pas l’idéal de l’installation, mais bien le minimum requis par la loi.

1: Protection anti-arcs

Les disjoncteurs doivent être pourvus d’une protection anti-arcs (AFCI / DAA) pour les circuits qui alimentent des prises jusqu’à 20 A et 120 V, sauf dans la cuisine et la salle de bains où les prises doivent être pourvues d’une protection des fuites à la terre (DDFT).

Les disjoncteurs de défaut d’arc (AFCI / DAA) protègent contre les incendies en identifiant les traits caractéristiques d’un arc et en mettant hors tension le circuit si un défaut avec arc est détecté.

Quant au disjoncteur détecteur des fuites à la terre (DDFT) interrompt le circuit lorsqu’il y a une fuite dangereuse du courant électrique pour protéger les personnes d’une électrocution.

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2: Espace pour la recharge des véhicules électriques

Il est nécessaire de laisser un espace supplémentaire dans le panneau de distribution électrique pour un disjoncteur de recharge pour véhicules électriques. Le dispositif de protection devra être bipolaire et un conduit ou un câble doit être installé en prévision d’une dérivation distincte dédiée à cette alimentation.

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3. Matériel conducteur de mise en terre

Actuellement, le cuivre est le seul matériau accepté pour le conducteur de mise à la terre. Les nouvelles dispositions du Code autoriseront l’aluminium.

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4. Des prises de courant près des toits

Il devra être installé des prises de courant à proximité du toit pour permettre un entretien ou des réparations avec des outils électriques de façon sécuritaire.

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5. Matériel admis pour les boîtes de jonction

Les boîtes de jonction devront être conçues d’un matériau non conducteur et non plus en acier comme actuellement, afin de limiter le risque d’électrocution et de brûlure.

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